Il n’y a plus d’ours dansants au Népal. World Animal Protection a annoncé avoir sauvé mardi soir à Iharbari Jyutahi les deux derniers plantigrades encore en captivité pour cette sordide activité, en collaboration avec l’Institut Jane Goodall et la police népalaise.
Rangila, un mâle de 19 ans, et Sridevi, une femelle de 17 ans, ont été transférés vers une réserve naturelle où ils pourront poursuivre leur vie en liberté.
Torturés dès le plus jeune âge pour danser
Pour en faire des ours dansants, les propriétaires arrachent les oursons à leur mère au plus jeune âge afin de les dresser à cette activité illégale pour touristes. Leur nez est percé afin de pouvoir y glisser un anneau et une corde, et ainsi maîtriser les animaux.
World Animal Protection se félicite d’avoir mis fin à cette pratique au Népal, après la Grèce, la Turquie et l’Inde.